jeudi 20 septembre 2018

Soft Glam par Anastasia Beverly Hills


J'ai longtemps hésité à acheter cette palette, mais une fois swatché, j’ai compris qu’elle est moi allions faire une super équipe. Cela faisait longtemps que je n'avais pas acheté une palette de chez Anastasia Beverly Hills et bien que mon avis sur la palette Prism n’était pas dégueu (dispo ici). Je n’avais pas été transcendée pour autant, surtout par Subculture que je n’ai même pas osée présenter ici.  Donc celle-là je l’attendais et maintenant qu’elle est là testons-la sans plus attendre.


Des couleurs chaudes sans être trop foncées, des fards aux finis incroyables et harmonieux. Typiquement le petit bijou qu’il fait bon avoir pour illuminer son regard.

Le packaging de la palette est très sympa, soft et élégant, c’est la signature de la marque depuis Modern Renaissance. On retrouve un aspect velours sur le devant de la palette et sur la tranche couleur beige pour représenter la palette. Bon soucis du velour c’est que ça s’abime vite et si il y a une tache dessus, ça ne pardonne pas, donc un conseille garder l’emballage carton.

On retrouve à l'intérieur un miroir assez et un petit pinceau double emboue (appliquer et l’autre pour estomper), merci Anastasia de ne pas faire comme Too Faced des palettes sans pinceau. Car personnellement pour la modique somme de 49 euros c’est vrai qu’on est en droit d’exiger un pinceau quand même, mais bref, je dis ça, je dis rien.

Coté teinte maintenant, les fards de la marque sont reconnaissable à leur pigmentation bien intense mais aussi et au grand malheur de tous pour leur côté poudreux ! Car si une seule pression suffit pour prélever la matière et la travailler, il n’en reste pas moins qu’elle va vite tomber sous les yeux et sur votre coiffeuse. Mais bon pour des mattes il reste là aussi plus intense que chez beaucoup de concurrent et se travaille très facilement, ces couleurs discrètes s’allient parfaitement au quotidien, qu’on les travaille au pinceau ou au doigt (même si je n’aime pas cette technique).

Mention spéciale à Mulberry (le carmin de la palette), Dusty Rose (un rose très pale qui me rappelle un peu celui de la palette Prism) et Cyprus Umber (le marron foncé). Je trouve que dans l’agencement de la palette on a un dégradé progressif vers les teintes foncés, qui donne un résultat harmonieux.

Au final, c’est surement une big bombe que nous lâche la marque depuis Modern Renaissance. J’étais amoureuse de la première je le suis aussi de celle-là ! Pigmentation parfaite, rendu intense. Le côté poudreux ne me gêne pas et je préfère ça aux fards dépressifs et en manque de pigmentation de chez Too Faced parfois. Ils se travaillèrent très facilement si on n’a pas la main lourde. Bref J’ADORE ! Et j’ai hâte de tester la dernière en date, Norvina.



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