J'ai longtemps hésité à acheter cette palette, mais une
fois swatché, j’ai compris qu’elle est moi allions faire une super équipe. Cela
faisait longtemps que je n'avais pas acheté une palette de chez Anastasia
Beverly Hills et bien que mon avis sur la palette Prism n’était pas dégueu
(dispo ici). Je n’avais pas été transcendée pour autant, surtout par Subculture
que je n’ai même pas osée présenter ici.
Donc celle-là je l’attendais et maintenant qu’elle est là testons-la
sans plus attendre.
Des couleurs chaudes sans être trop foncées, des fards aux
finis incroyables et harmonieux. Typiquement le petit bijou qu’il fait bon
avoir pour illuminer son regard.
Le packaging de la palette est très sympa, soft et élégant,
c’est la signature de la marque depuis Modern Renaissance. On retrouve un
aspect velours sur le devant de la palette et sur la tranche couleur beige pour
représenter la palette. Bon soucis du velour c’est que ça s’abime vite et si il
y a une tache dessus, ça ne pardonne pas, donc un conseille garder l’emballage
carton.
On retrouve à l'intérieur un miroir assez et un petit
pinceau double emboue (appliquer et l’autre pour estomper), merci Anastasia de
ne pas faire comme Too Faced des palettes sans pinceau. Car personnellement
pour la modique somme de 49 euros c’est vrai qu’on est en droit d’exiger un
pinceau quand même, mais bref, je dis ça, je dis rien.
Coté teinte maintenant, les fards de la marque sont
reconnaissable à leur pigmentation bien intense mais aussi et au grand malheur
de tous pour leur côté poudreux ! Car si une seule pression suffit pour
prélever la matière et la travailler, il n’en reste pas moins qu’elle va vite
tomber sous les yeux et sur votre coiffeuse. Mais bon pour des mattes il reste
là aussi plus intense que chez beaucoup de concurrent et se travaille très
facilement, ces couleurs discrètes s’allient parfaitement au quotidien, qu’on
les travaille au pinceau ou au doigt (même si je n’aime pas cette technique).
Mention spéciale à Mulberry (le carmin de la palette), Dusty
Rose (un rose très pale qui me rappelle un peu celui de la palette Prism) et
Cyprus Umber (le marron foncé). Je trouve que dans l’agencement de la palette
on a un dégradé progressif vers les teintes foncés, qui donne un résultat
harmonieux.
Au final, c’est surement une big bombe que nous lâche la
marque depuis Modern Renaissance. J’étais amoureuse de la première je le suis
aussi de celle-là ! Pigmentation parfaite, rendu intense. Le côté poudreux
ne me gêne pas et je préfère ça aux fards dépressifs et en manque de
pigmentation de chez Too Faced parfois. Ils se travaillèrent très facilement si
on n’a pas la main lourde. Bref J’ADORE ! Et j’ai hâte de tester la
dernière en date, Norvina.
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